À propos

Un site basse consommation pour un numérique plus responsable

Un message militant pour introduire cette page. Notre boulimie pour le numérique n’est pas sans conséquences environnementales. En 2025, il devrait représenter 6 % des émissions de CO₂ dans le monde (source), soit l’équivalent des émissions d’un pays comme l’Inde.

Le numérique et ses objets connectés seront aussi responsables de la destruction de notre ciel étoilé. L’Internet satellitaire engendrera le déploiement de dizaines de milliers de satellites dans un avenir très proche qui seront autant de nouveaux points brillants dans le ciel nocturne. Le spectacle d’une voûte céleste observée aux jumelles vierge de tout satellite ne sera bientôt plus qu’un lointain souvenir.

Aucun site Internet ne peut être écologique. Toutefois, celui-ci a été conçu pour limiter les ressources informatiques nécessaires à son fonctionnement afin de réduire son impact environnemental.

  • Le poids réduit des pages (696 ko en moyenne, soit 3 fois moins que la moyenne mondiale) (source) et le chargement des images uniquement à la demande permet une accessibilité rapide partout dans le monde quelle que soit la qualité du réseau et quel que soit l’âge de l’ordinateur ou du téléphone.
  • Aucune base de données n’est utilisée.
  • L’hébergement est réalisé France dans un datacenter efficient, sur un serveur à très faible puissance et à la configuration manuellement optimisée.

La responsabilité du site s’applique également aux données personnelles. Elles ne servent qu’à réaliser un suivi des consultations par page et elles sont auto-collectées, auto-hébergées et anonymisées par un logiciel pleinement compatible RGPD et open-source (Matomo Analytics). Vous pouvez vous exclure des comptages en décochant l’option présente sur cette page.

Numérique responsable

Moi :-)

Je m’appelle Bastien, je suis né en 1982 et j’occupe un poste d’ingénieur chez un éditeur de logiciels.

J’ai toujours été tête en l’air… dans tous les sens du terme. Mon intérêt pour l’astronomie a commencé tout petit avec la comète Hyakutake en 1996. Sont ensuite venus divers cadeaux astronomiques : un planétarium de chambre, un livre sur les constellations…

Puis les évènements astronomiques se sont enchaînés et m’ont passionné, jusqu’au jour où je regarde pour la première fois dans un télescope. J’y vois Mars qui était alors au plus près de la Terre, en 2003. Je ne pensais pas qu’on y verrait autant de choses : les calottes polaires, les mers… Je me suis alors acheté mon premier télescope. Il était entièrement manuel, j’ai dû apprendre toutes les constellations par cœur pour espérer m’en servir.

Aussi très attiré par la photo, j’ai vu dans l’astrophotographie un moyen de rassembler mes passions. J’ai commencé en 2005 avec les premiers réflex numériques et un petit télescope chinois. Les premiers essais sont magiques : les nébuleuses apparaissent en couleurs, comme sur les photos de Hubble. J’ai ensuite pratiqué pendant plus de 12 ans avec mes amis de l’Association Astronomique de l’Ain près de Bourg-en-Bresse. Je suis maintenant installé en Bretagne dans le Finistère où les trouées nuageuses me permettent d’observer le ciel étoilé ;-)

L’astrophotographie est une véritable école de patience. Les conditions parfaites sont rares. Il faut faire face aux nuages, au vent, à l’humidité, au froid, à la fatigue, à la pollution lumineuse. Les échecs sont nombreux. Les objets ne sont photographiables que 1 à 2 mois par an, et seulement lors de nuits sans Lune. Quand les conditions sont réunies, il faut passer une ou plusieurs nuits éveillé, à surveiller le matériel qui tourne. Certaines images présentées dans cette galerie comptent plus de 70 heures de poses cumulées.

En espérant que mes quelques travaux vous feront devenir, comme moi, « tête en l’air » …

Bastien Foucher

Références

moi
Passage au 20 heures de TF1

Expositions

2020 - 2018

2017 - 2015